Avec Sophie, Florence, Bernard, Francis, Vincent, Dieter, Patrick et Philippe
Sur ce coup là, il y a coalition : on était tous d'accord pour dire que c'était super bon, et qu'on voulait garder le coin rien que pour nous et ne surtout rien dire à personne.
Finalement, on a décidé de lâcher le morceau pour en faire profiter les copains...
Françis était hésitant : "mais c'est quoi ce dos de chameau ?" (alias bosse de la tortue). Le Laverq ne déçoit jamais. Et ce vallon de l'Encoungoura fait même partie des favoris de notre amie Claude, c'est pour dire !
L'incertitude du départ concerne ce ciel voilé qui nous accompagne. Nous comptons sur quelques rayons de soleil pour décailler notre descente en sud, sinon, qu'allons nous faire ?
On s'attendait également à trouver un paysage dunaire, pour accompagner notre méharée du jour. C'est raté, le vallon de l'Encoungoura est tout blanc, avec seulement 2 très vieilles traces de descente. Pas de sable dans ces contrées. Bizarre.
Le col est vite atteint après une pente bien soutenue. Puis le sommet. Nous contemplons les sommets alentour, déjà parcourus ou projets futurs. De retour au col-oasis, la pause pique-nique est la bienvenue. Pour l'occasion, c'est tajine de potimarron. Il ne manque ni thé à la menthe, ni chocolat ni gingembre !
Le temps de reprendre des forces, notre couloir de descente est mûr et à point. Un bon 40° sans aucune trace, et hop, déjà tous en bas. C'est trop bon. Les pentes suivantes sont parfaites. Nous poursuivons par une séquence en forêt, pour garantir une pente suffisante à Vincent en splitboard.
La piste qui suit nous ramène aux voitures laissées à Peynier quelques heures avant. Par de savants calculs, nous arrivons à la note de 5,5* sur laquelle toutes et tous tombons d'accord. Avec un arrondi à 5, histoire de simplifier le compte rendu.
Au retour (et déjà à l'aller), Patrick nous raconte sa recherche de caravane. Décidément !
Merci à tous et à bientôt pour de nouvelles aventures.
Philippe
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