11 participants : Max, Elodie, Thibault, Claire, Françoise, Jeff, Alain2, Yann, Michel, Alain1, Patricia
Quelle agréable surprise en arrivant au Laus de Cervières et en voyant l'enneigement qui permet de chausser les skis devant les voitures ! Nous n'en espérions pas tant...
Bonne humeur et bavardages ne gênent pas la contemplation de la beauté de l'itinéraire même s'il est un peu plat au départ.
Dans la Casse des Oules, nous rencontrons un groupe de skieurs qui descend afin de retrouver la montée à Chaudemaison qu'ils ont ratée. Cela en fait questionner quelques-uns qui décident de rejoindre l'autre trace de montée plus à l'Ouest, mais qui oblige à effectuer deux traversées de torrent.
Chaque groupe évolue de son côté avant de se retrouver dans le très beau cirque que domine majestueusement le Rochebrune.
Chacun progresse à son rythme, perdu dans ses pensées...
L'arrivée au col est quelque peu scabreuse et difficile : la neige très dure, voire glacée ne laisse pas bien pénétrer les couteaux. De plus, les vaguelettes que le vent a sculptées créent des vides dans lesquels ces derniers ne peuvent accrocher. Alain1 doit secourir Claire qui se trouve bloquée sous le col.
En arrivant nous trouvons Claude et Bruno qui font la même rando que nous : bon choix !
Quel panorama somptueux ! Et cet intense plaisir que nous partageons tous de nous trouver face à ces grands espaces !!!
Très bel endroit pour pique-niquer : nous nous installons face Sud où règne une température bien douce. Au menu deux gâteaux et des chocolats à partager que viennent arroser pastis, limoncello et génépi.
Mais il faut bien quitter ces lieux magiques et entamer la descente par des dérapages dans le passage raide et difficile, avant de trouver une neige de printemps très facile et agréable à skier.
Il y a aussi de très beaux épisodes de poudreuse dans laquelle Max nous montre la perfection de son style.
Descente très agréable et sans problème. Même Jeff ne tombe plus !
Afin de retrouver la piste de ski de fond, il nous faut traverser le torrent sur un étroit petit pont où il faut bien viser afin ne pas tomber dans l'eau.
Pas des patineurs obligatoire en arrivant au Laus puis aux voitures devant lesquelles nous déchaussons. Il est 14h, nous avons le temps d'aller passer encore un moment très sympathique et amical chez Michel et Nathalie (que sa mâchoire en réfection n'a pas autorisée à venir avec nous).
Il nous reste encore plein de choses à nous dire sur cette splendide rando !
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