mardi 26 décembre 2017

Mercredi 20 décembre 2017 : Le Méale par les Vabres : 1180m de dénivelé.


Participants :
9 skieurs : Dieter, Max, Anita, Alain2, Bruno, Françoise, Jean-Michel, Alain1, Patricia.
3 raquettistes : Claude, Laura et Martine.

Le Méale et sa célèbre poudreuse nous tentaient, comme sa proximité : c'est une montagne de "chez nous", on l'aime bien...
Des 3 itinéraires possibles pour y monter, Max avaient envie de celui, plus long, qui part des Vabres.
Dès le début nous sommes dans l'ambiance du parcours sanglier griffant et décoiffant. Il faut même déchausser dans un passage trop pentu et encombré alors que les raquettistes nous narguent un peu puisqu’elles sont plus à l'aise dans un tel terrain. Alain2 n'appréciant pas l'enchevêtrement de végétation, nous quitte pour aller à la Ratelle.
Bruno dérape à cause d'une peau mal collée, nous le retrouvons avec le nez bien écorché et quelque peu amoché.
On ne s'ennuie pas !



Même les choses pas supers ayant une fin, la rando se poursuit sur le parcours dans la forêt, agréable quoique peu lumineux, avant de retrouver la cabane du Méale puis la crête ensoleillée.
Les arbres sont givrés, encore recouverts de neige scintillante, c'est magnifique !
Pique-nique au sommet, contre le gros cairn, devant un panorama grandiose. Il fait bon, nous n'avons pas froid, on est bien...
Pastis puis chocolats et papillotes circulent...
Les raquettistes partent en premier, nous prenons un peu notre temps avant d'aller faire nos traces dans une magnifique poudreuse épaisse où personne n'est encore passé. Quel plaisir ! Bruno et Max se laisse même entraîner dans leur élan et vont trop à droite. Mais nous nous retrouvons pour une descente dans les arbres avec de belles pentes. Bel exercice d'adresse pour bien viser et éviter que ces derniers nous foncent trop vite dessus.
La belle forêt laisse la place aux taillis, aux ronces et autres bois jonchant le sol. Difficile de faire son chemin dans ce dédale serré et peu accueillant !
Nous transpirons à la descente tant nous faisons des efforts.
Anita chute malencontreusement en croisant ses skis, elle se relève avec une douleur à l'épaule qui s’avérera être une fracture de la tête humérale !
Très courageusement elle finit le parcours sanglier qui comprend aussi des remontées quelque peu fatigantes.


Et à l'arrivée aux voitures il faudra attendre les raquettistes parties trop à droite, avant que certains aillent partager des bières chez Max.
Journée très physique et très amicale dont nous reparlerons !

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