Groupes des plus rapides encadrés par Céline et Patrick : Jean-Jacques, Jean-Pierre, Yann D, Ange, Chantal, Dominique L, Hélène P, Robert, Rolland.
Groupes des rapides encadrés par Isabelle et Alain A : Sandrine, Charly, Michel H, Hélène N, Marie, Guillaume L, Christophe.
Groupes des moins pressés encadrés par Alain C et Patricia : Nathalie C, Alain O, Ghislaine, Sylvain, Isabelle N, Didier N, Annie L, Marie-Christine.
Et dire que la poudreuse était si bonne...avant la pluie d'hier soir ! On se doutait un peu, bien sûr, que le neige aurait souffert de la pluie et de la douceur des températures. Mais nous n'imaginions pas une telle "infâme croûtasse" !
Seulement deux désistements ce matin... Et un très joyeux groupe au départ à Bois Méan, faisant très attention de ne pas glisser sur l'épaisse couche de glace vive qui garnit le parking (gratuit !😃).
La piste est très bien enneigée et la croûte, pas très épaisse au départ, s'affine au fur et à mesure que nous montons. La poudreuse est jolie dessous : on se prend à rêver que la neige sera bonne au-dessus de 2000 m... L'optimisme ne nuit pas...même quand il est grand.
La montée est très agréable : le vallon de l'Eissalete est vraiment un très joli vallon. Il était très peu tracé, avant le passage de la délégation du CAF Embrun...😂
Les groupes des très rapides vont au-dessus du col de l'Eissalete, non loin du point coté 2571.
Le groupe rapide atteint, après un magnifique cheminement, le sommet gauche du col de l'Eissalete, alors que le groupe très rapide est déjà en train de redescendre. C'est vrai qu'un petit vent frais n'incite pas à s'attarder. Malheureusement, il faut descendre. La seule consigne est de faire comme on peut sans se casser quelque chose. Cahin-caha tout le monde descend mais il est plus judicieux de reprendre des forces avant de rejoindre les autres groupes.
Les moins pressés n'ont pas contredit Alain C quand il s'est arrêté après 600m de montée (pc 2240) pour nous faire part de son opinion : "cela ne sert à rien d'aller plus haut". Idée qui lui est venue en regardant les "non virages" des quelques skieurs (très peu élégants) descendant du col. La croûte s'épaissit avec l'altitude... Elle est si épaisse que les skis emprisonnés dessous ont beaucoup de mal à en ressortir : il faut être suffisamment lourd pour casser la glace...ou bien tomber ! (Eh oui, le ski de randonnée c'est aussi ça !)
Nous déchaussons...tranquillement, afin de bien profiter de la jolie ambiance du vallon, du temps magnifique...et de l'agréable compagnie !
Un peu plus bas, les meilleurs skieurs arrivent à faire quelques
virages. Et, quand la neige est bien trafolée, il devient beaucoup plus
facile d'en enchaîner.
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