10 participants : Guillaume, Michèle,
Alain 2, Anita, Alain 1, Patricia, Jeanine, Michel H, Nathalie, Claire
L’optimisme
de nos applications météo nous incite à partir, de bon matin, malgré la pluie,
en direction de Seyne.
Nous débutons la randonnée à la maison forestière de Bellevue, qui porte mal son nom ce matin. Montée dans une forêt brumeuse à l’ambiance très ardennaise, ou très « Jane Goodal », selon les références de chacun.
Nous débutons la randonnée à la maison forestière de Bellevue, qui porte mal son nom ce matin. Montée dans une forêt brumeuse à l’ambiance très ardennaise, ou très « Jane Goodal », selon les références de chacun.
Au
col de Bernardez, nous rajoutons une épaisseur pour supporter le vent sur
l’arête : oubliée la canicule de ces derniers jours !
Nous atteignons rapidement le sommet du Pic de Bernardez, mais ne pouvons admirer le panorama promis par Alain 2, malgré quelques tentatives désespérées du soleil pour percer.
Alain 1, sous l’effet de la brume mystique sans doute, se met à nous
jouer un épisode de la Passion du Christ, déclenchant plus d’éclats de rires
que de recueillement.
Nous atteignons rapidement le sommet du Pic de Bernardez, mais ne pouvons admirer le panorama promis par Alain 2, malgré quelques tentatives désespérées du soleil pour percer.
Mais
le Ciel ne nous en tient pas rigueur, car les nuages se déchirent enfin en bas
de l’arête, dans le vallon de l’Ambouin, découvrant un paysage certes très
sympathique, et nous réchauffant un peu.
Nous passons un collet dans la Crête du Laveyret, espérant pique-niquer près des lacs se trouvant derrière. Mais, nouvelle publicité mensongère de notre organisateur, ou carence de l’office du tourisme local, point d’eau dans les lacs ! Il faudra revenir au printemps, décide Alain 2, prêt à nous fournir des photos comme preuves de ses affirmations.
Nous passons un collet dans la Crête du Laveyret, espérant pique-niquer près des lacs se trouvant derrière. Mais, nouvelle publicité mensongère de notre organisateur, ou carence de l’office du tourisme local, point d’eau dans les lacs ! Il faudra revenir au printemps, décide Alain 2, prêt à nous fournir des photos comme preuves de ses affirmations.
A
défaut d’eau, les boissons alcoolisées et une bonne sieste dans l’herbe
moelleuse nous consolent. Il ne reste plus qu’à passer le Col Bas, puis à
retourner à la voiture par des petits chemins bucoliques.
De
retour à Embrun, le départ matinal nous laisse le temps de déguster une mousse
présidentielle.
Claire S
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