9 participants : Guillaume, Michèle, Claudine, Jean-Marc, Martine, Sabine, Dieter, Amélie, Claire
Randonnée sous le signe de la relativité…
Par un temps relativement beau, ou relativement gris, selon qu’on regarde le verre à moitié vide ou à moitié plein, nous commençons notre randonnée, annoncée au départ vers le dolmen du Villard. (500m de dénivelé) À ce prix-là, j’ai pu convaincre Amélie de nous accompagner, lui faisant miroiter un voyage historique au temps de l’âge de bronze.
En effet, après quelques efforts relativement modérés nous atteignons cette sépulture mégalithique, sur laquelle la cadette du groupe se dresse fièrement, sans respect pour le repos de nos ancêtres.
Mais comme dans les randonnées de Sabine le dénivelé a souvent un caractère relatif (dans le sens : on ne peut jurer de rien) et que la météo est décidément relativement bonne, nous choisissons de continuer vers le col du Morgonnet, voire vers le sommet du même nom. Amélie se renfrogne un peu, mais est toujours pleine d’énergie.
Au col du Morgonnet, suite à une mutinerie générale anti-sommet, nous pique-niquons relativement au sec dans des pentes herbeuses, mais le froid transperce assez vite nos vêtements, malgré le calvados de Guillaume.
Nous achevons le tour du Morgonnet, après un passage neigeux en face nord et descendons l’arête, d’où nous avons une très belle vue panoramique sur le lac.
Un peu plus bas, nous testons une petite variante sur un sentier relativement paumatoire, mais où poussent des champignons. Je fais une récolte de petits gris, Martine étant relativement sûre de leur authenticité. Comme je suis toujours là pour écrire ce compte rendu, c’est donc qu’elle avait raison !
Les lois naturelles restant invariantes par rapport aux changements de référentiels spatiotemporels, nous retrouvons finalement les voitures, pour une troisième mi-temps chez Dieter, dont le frigo est invariablement rempli de bières !
Claire S
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire