lundi 13 juin 2022

Dimanche 12 juin 2022 : Le Tour des Peygus. Randonnée proposée par Alain2. 1000m de dénivelé

 Participants : Alain2, Pierre, Ange, Claudine, Jean-Marc, Cathy, Alain1, Patricia

Départ à 8h pour Le Laus de Cervières avec un très beau temps pour un tour qu'aucun participant n'a encore jamais fait.


L'itinéraire débute dans le verdoyant mélézin fleuri de la Combe du Malazen. Un troupeau de chèvres gardé par un chien qui n'aboie pas, un confortable tapis d’aiguilles de mélèze, une pente douce...La rando commence bien !


Nous rejoignons le sentier menant à l'ancien fort de La Lausette (2339m). Une pause s'impose sur ce magnifique belvédère dévoilant un panorama époustouflant sur les Écrins, les Cerces et sur les sommets environnants de l'Izoard. 


Après la descente, une traversée facile vers le Grand Peygu où un bel enchaînement de zigzags dans les cailloux nous attend. Il reste encore quelques névés, même s'il fait très chaud !


Chacun arrive à son rythme au col des Peygus (2612m) : nous retrouvons des territoires connus où nos skis ou raquettes nous ont déjà conduits. Une petite brise légère y souffle.

Pause pique-nique juste sous le col : les névés ont fourni la neige qui va rafraîchir le pastis...Tout commence bien ! Et finit bien car au moment du dessert, Jean-Marc sort de son sac 24 parts d'un délicieux gâteau aux amandes/citron : il y a davantage de monde habituellement...Il faut aussi se partager 12 parts de clafoutis aux cerises !...La vie est dure...

Vautrés dans l'herbe, nous nous accordons un agréable petit moment post limoncello. Le Pic de Rochebrune domine la crête vers l'Izoard et les beaux rochers rouges du Col de la Roya nous rappellent les sorties en ski de rando de l'hiver dernier.

13h15, la descente vers le petit lac commence. L'eau y manque un peu mais plusieurs ne résistent pas au plaisir d'y faire trempette... Les fleurs abondent autour.

Au bout du doux vallon de Percagne, il faut remonter un peu pour traverser le Bois des Loubatières. La source annoncée ne coule plus à l'intersection des sentiers...Le manque d'eau a des effets, hélas. 

Il ne reste plus qu'à enchaîner les nombreux zigzags dans le Bois des Talias menant à la route et à ses nombreuses motos troublant le calme du coin...

Les voitures sont là pour nous emmener à Châteauroux où Anita et une agréable troisième mi-temps nous attendent avec de bonnes bières belges bien fraîches. Il y a plus malheureux que nous !...

Patricia




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