mardi 29 septembre 2020

Dimanche 27 septembre 2020 : crêtes de la Rortie et Lac de la Lauze. Randonnée proposée par Guillaume

Participants : Françoise S, Anita, Micheline, Françoise D, Michèle, Claudine, Martine, 
Marie-Hélène, Didier, Jean-Marc, Bernard, et Guillaume.
 
 
L'offensive précoce et neigeuse de l'hiver nous oblige à revoir nos plans pour cette randonnée dominicale...
 
Le choix se porte donc sur le parcours des crêtes de la Rortie et du lac de la Lauze en vallée de Freissinière. Une valeur sûre...
 

Le temps est gris et froid au départ. 0°C... Gants, bonnets doudoune sont de sortie.
Mais, malgré la coolitude de la randonnée, le bon train de la montée nous fait quitter toute cette panoplie hivernale...
 
 Le parcours des crêtes est très agréable, avec de beaux panoramas sur les vallées de la Durance et de Freissinière.
 
Un pâle soleil se dévoile lorsque nous arrivons au lac de la Lauze ou du moins ce qu'il en reste en ce début d'automne/d'hiver.
 
 Ce sera le lieu du pique-nique où, "as usual", pastis, vin sobre, mélèze et chocolats fusent...
Une sieste est royalement accordée. Quand même pas trop longue la sieste...
 
 
Il ne reste plus qu'à descendre vers les hameaux des Aujards et des Hodourenqs pour prendre le sentier en balcons qui nous ramène aux voitures.
La journée se termine chez Françoise et Didier qui nous fait découvrir les bières de sa fabrication.
 
Guillaume




 

jeudi 24 septembre 2020

Mercredi 23 septembre 2020 : Méale, Croix des Enfers et Pic Haut. 1200m de dénivelé et 17km

 8 participants : Françoise, Lisa, Micheline, Claudine, Jean-Marc, Nicolas, Jeff, Patricia 

 Eh oui, il y avait moyen de passer à travers les gouttes ce mercredi ! Et même de profiter d'une belle journée automnale avec d'harmonieux nuages décorant un beau ciel bleu pour le plus grand plaisir de Jeff, notre photographe venu randonner.

Départ à 7h30 afin d'optimiser la journée et de permettre à certaines de satisfaire au mieux leurs obligations.

 C'est dans le hameau du Haut-Forest que nous garons les voitures et entamons l'agréable montée par le sentier de la Platrière  qui nous emmène en 1h50 (malgré les savoureuses tentantes framboises) au sommet du Méale (2426m). Il fait beau et bon, la vue sur notre jardin (Grand Vallon, Lac, Mont Orel, Pic Saint-André et de Chabrières... ) occupe nos yeux pendant que nous faisons une longue pause bavarde en appréciant les paysages.

 La descente vers la longue crête est pleine de pièges glissants avec les dernières pluies : les pantalons reviendront quelque peu boueux !

Viennent ensuite de doux petits vallonnements herbeux, puis une crête et un sommet sans nom (2451m) sur lequel nous nous regroupons avant de redescendre pour aller chercher la pente menant à la Croix des Enfers (2524m). Au passage, aucun sommet n'est oublié...
 
 
La caillouteuse Croix des Enfers est un beau point de vue sur le Pic Haut (2518m) et sa prairie sommitale. Il est 11h30 lorsque nous y arrivons et nous installons confortablement près de la croix pour le pique-nique.
 
 
Françoise -qui fête son anniversaire- est assaillie de coups de fils qui ne perturbent en rien nos discussions. Nous sommes vraiment bien !
 
 
Après Figolus et chocolats, nous entamons la descente en shuntant les sommets visités à l'aller jusqu'au Méale.
 
 
La descente se fait dans la forêt et en faisant une petite boucle... et une remontée avant de retrouver notre itinéraire de montée.
 
 
Pas de temps à perdre quand nous arrivons aux voitures, un peu avant 15h : Françoise et Micheline ont des obligations...
 
 
La petite mousse d'Athéna sera donc servie en petit comité...mais aussi avec de grandes discussions bien agréables.
 

 

mardi 22 septembre 2020

Dimanche 20 septembre 2020 : Col de la Gardette et crêtes de la Fourche

Participants : Alain, Bernard, Catherine, Christine, Claudine, Florence, Guillaume, Jean-Marc, Michèle, Patricia, Philippe, Régine (CAF de Lyon), Rosine, Sabine, Vincent

La météo de ce dimanche étant difficile à décrypter, il a fallu revoir les objectifs : le projet « Rochemelon » a dû être abandonné au profit des arêtes de la Fourche (ou de l’Essillon) (1200m plus bas et deux heures de route en moins…), avec extension jusqu’aux Aiguilles de Chabrières si le temps le permet.

Malgré tout, la bonne humeur est là et un soleil timide nous accompagne pendant la montée, très champêtre dans les mélèzes et les colchiques, au col de la Gardette, au départ des Chirouzes (1454 m). Le parcours sur les crêtes (2308 m), succession de bosses herbeuses ou rocheuses, nous offre de belles vues, vers l’est, sur les proches sommets – Pousterle, Barle, Aiguille d’Orcières, Diablée, Mourre froid - , « faits » ou non « faits » mais bien tentants… en revanche le ciel est très noir vers le sud-ouest, on ne voit rien et il fait lourd.

 Quand nous arrivons face au lapiaz spectaculaire des Aiguilles de Chabrières, celles-ci s’enveloppent de brume : redoutant l’orage, nous décidons de renoncer au sommet. 

Nous redescendons au col, à flanc, par le versant nord, puis prenons le temps de pique-niquer, car le temps semble tenir, un vague soleil se montre encore : la Cheffe maugrée de ne pas être allée au sommet… 

La descente du col s’effectue sans encombre, à travers l’alpage, où certains admirent de sculpturales vaches brunes, tandis que d’autres ramassent quelques rosés des prés.


 
A 15 heures, nous sommes aux voitures, et il ne pleut toujours pas. C’est 10 minutes plus tard, comme nous débarquons chez la Cheffe pour la traditionnelle mousse, que se déclenche l’averse tant redoutée : c’est ce qui s’appelle passer entre les gouttes !

 


 


 

               

lundi 21 septembre 2020

Vendredi 18 septembre 2020 : Le Petit Parpaillon. 1100m de dénivelé

 

9 participants : Pascal, Véronique, Jeanine, Patrick, Claudine, Jean-Marc, Christian, 
Rosine, Patricia
 
 
 
Aujourd'hui, départ à 7h30 pour une "Pacou rando" cool, de quoi faire plaisir à plus d'une...
 

Nous démarrons par le sentier menant au col de Girabeau (2509m), avec une petite pause à la cabane éponyme. La température bien fraîche au départ (7°C) se radoucit quelque peu et devient agréable. Au bout de la montée confortable, de beaux panoramas nous attendent au col et nous prenons le temps de les admirer : il est beau notre jardin !
 
 
     Le Petit Parpaillon n'attend plus que nous qui n'avons "qu'à" suivre la ligne de crête menant sans difficultés au sommet. 

 
 

Il n'est pas encore midi, mais les beaux points de vue de l'endroit nous incitent à y faire la pause pique-nique. Les murets d'un ancien bivouac servent opportunément de dossier ou même d'assise.

Après gâteaux et chocolats variés, nous entamons la descente vers le tunnel du Parpaillon. Pour certains la visite du tunnel est une première.
 
 La route du Parpaillon a toujours été considérée comme d'importance stratégique. La route actuelle, passant par le tunnel (520m de longueur), a été construite par le génie militaire entre 1891 et 1900, afin d'assurer une liaison vers l'arrière pour le fort de Tournoux situé en Haute-Ubaye. 
 Après quelques pas dans le tunnel et tout en causant, la joyeuse équipe reprend le sentier afin de terminer la boucle jusqu'au col de Girabeau.
 
 Il y aura une autre petite pause à la cabane avant de retrouver les voitures.
 
 De bonnes bières nous attendent au frais chez Jeanine et Patrick et c'est à l'ombre du parasol que nous les partageons : la chaleur est revenue...
 

 





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samedi 19 septembre 2020

Mercredi 16 septembre 2020 : Le tour de la Tête des Toillies proposé par Anita et Alain. 1100m de dénivelé

 Participants : Françoise S, Patricia, Anita, Robert, Alain 2.

Vu le petit groupe, nous rentrons tous dans une voiture pour se diriger vers St Véran et se garer à l’ancienne mine de cuivre. De là, nous montons en direction du Col Blanchet. Nous sommes à l’ombre et sentons que la saison change, il fait frais. 

 

Le Lac de la Blanche est le premier d’une série de lacs qu’on va voir aujourd’hui, au moins une douzaine ! Nous passons par l’école d’escalade de la Blanche, admirons les voies sur la Tête des Toillies et les paysages autour.

 

Au Col Blanchet, nous descendons un peu, direction le Lac Bleu mais prenons le sentier pour le Col du Longet. Là, des lacs et des lacs… dans la lumière douce qui annonce l’automne. 


 



Nous nous croyons dans les Pyrénées, les Andes… Mais non, nous sommes dans nos Hautes-Alpes qui nous offrent tout cela ! 

L’endroit est tellement invitant que nous décidons de piqueniquer dans la plaine avant de monter au Col de la Noire. Au soleil, à l’abri du vent, dans l’herbe sèche…Il y a autant de quoi nourrir les yeux que les estomacs !

 

En montant au Col de la Noire, non, c’est exagéré, encore des lacs ! Arrivés au col, Le Pic de la Farniéviéta nous tente avec son arête rocheuse. On y va, on y va pas ? Les nuages s’approchent et on entend un coup de tonnerre… et on décide de descendre. 

 

Bonne décision, car, comme d’habitude, nous arrivons à la voiture au moment des premières gouttes…bon timing !

A Ville-Vielle, Robert nous offre une bière (méritée après 1100 m de dénivelé) chez une gentille dame qui aime beaucoup les poules.

Encore une belle journée passée en bonne compagnie !

Anita