samedi 5 mars 2022

Vendredi 4 mars 2022 : La Crète de la Pousterle et plus... Randonnée à ski proposée par Michel F. De 930 m à 1300 m de dénivelée.

Participants : Françoise, Patrick, Ange, Daniel, Rosine, François, Florence, Hélène, Isabelle, Nathalie, Michel H, Alain, Michel F 

Rendez-vous est donné aux Gourniers où nous poursuivons en voiture jusqu'aux 4 places du petit parking des Tomelles. 

Il nous faut faire les 150 premiers mètres à pied mais dès que nous atteignons la Gorge, la neige est bien présente et nous chaussons les skis. Le soleil nous accueille à la sortie de la Gorge et nous nous élevons sur le versant enneigé, l'autre côté étant déjà printanier.


Nous atteignons facilement le pied du col de la Coupa.

 

Deux groupes se forment : 7 randonneurs plus motivés partent devant. Ils ont l'intention de remonter un couloir sous le Fleurendon. Les 5 autres suivent dans ce magnifique paysage. Le passage plus raide qui contourne le dortoir des vautours est en neige déjà ramollie, les traces sont bien marquées, ça passe sans difficulté.


Le vallon de la Pousterle est encore bien enneigé et toujours aussi beau. 

Le premier groupe s'élève d'environ 200 mètres avant d'enlever les peaux et de redescendre jusqu'au vallon dans une neige juste transformée à souhait.




Tout le monde se retrouve au col de la Pousterle avant midi. Il fait très bon, nous nous installons pour casser la croûte. Le paysage est très contrasté : printemps et hiver se côtoient.



Patrick nous trouve encore de la poudre en louvoyant dans les mamelons avant de retrouver le vallon. 

Presque tout le monde repeaute pour monter aux Parias. Les couteaux s'avèrent nécessaires pour finir la montée sur la crête. Quelques-uns vont jusqu'au sommet et profitent de la vue grandiose. La descente débute par une partie délicate où il faut louvoyer entre les plaques de glace et les cailloux mais nous retrouvons rapidement de la bonne neige presque poudreuse dans le couloir. 

La suite de la descente est changeante mais plutôt bonne. Les parties croûtées sont finalement rares. 

Nous nous retrouvons vite aux voitures et une bonne bière à Puy Saint-Eusèbe nous requinque.

Isabelle
  
  



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