lundi 19 février 2024

Dimanche 18 février 2024 - La Montagne Pellat (2675 m) et le Grand Parpaillon (2881 m). Randonnée à ski proposée par Max. 1750 m de dénivelé et quelques kilomètres...

  Participants : Céline, Jean-Jacques, Sylvain, Rolland, Max.

Depuis quelques temps, j'avais l'idée de proposer l'enchainement de l'ascension de Montagne Pellat et du Grand Parpaillon. Pour cela, il fallait un bon alignement des planètes, des conditions de ski "safes" (risque 2 depuis quelques jours), une journée relativement clémente au niveau météo et, enfin, des copains assez fous pour vouloir me suivre🤔😏

 En ce beau dimanche, Bingo ! Céline, Rolland, Jean-Jacques et Sylvain m'accompagnent dans cette belle bambée ; le temps est superbe et les conditions requises sont là😁.
Nous nous retrouvons donc, à potron-minet à la Chalp de Crévoux afin de pouvoir prendre notre temps pour cette belle balade. Nous en rêvions tellement, que nous avons failli oublier de prendre l'ami Rolland au passage🙄😊. (l'oubli va être de courte durée).
Comme beaucoup ne connaissent pas le passage par la cabane de la Sèche, nous prenons la piste de fond et, pendant un moment, nous longeons le torrent de Crévoux. Nous passons à proximité du LEM en reproduction au 1/1 et nous en profitons pour en faire la photo.

Sous la cascade de Razis, enfin, nous entamons notre première ascension.
Les débuts sont difficiles, la trace de montée est verglacée, il faut que nous en sortions pour moins pâtir.
De retour sur la piste du Parpaillon, nous arrivons à la cabane du Gouron où nous lâchons la piste ; une équipière zélée se charge de tracer et se permet d'aller chercher de la bonne poudre dans les pentes😅...
Ceci fait, notre cheminement se radoucit et chacun prend sa part de taf et trace dans les mélèzes😋.
Nous rejoignons la crête de La Montagne Pellat et nous cheminons en surplombant le vallon éponyme ainsi que l'Arête de la Ratelle.



 
Enfin, au sommet, après quelques moments de contemplation😳, nous basculons sur notre première descente qui se finira par une belle pente de plus de 35°en neige de printemps à poil ras.
De là, nous remettons les peaux et reprenons la montée direction le Grand Parpaillon😊.Pour le moment, celui-ci est vierge de toutes traces de l'Homo sapiens-sapiens.
Mais deux skieurs de grands espaces sont devant nous à quelques encablures et nous ouvrent la route.



Que de "Oh !" et de "Ah !" tellement c'est beau !
Dans ces belles pentes vierges, nous profitons de la montée pour nous en mettre plein les yeux.
Un des participants voyant l'heure du repas et de la sieste arriver (midi) profite du seul coin de plat pour s'allonger au soleil et nous regarder progresser sur les derniers hectomètres nous séparant de notre ultime but. Rolland va se faire un plaisir de tracer au cordeau dans une belle poudre sur fond dur.😋 Que la descente va être bonne !
Enfin, nous voilà au sommet ; quelle vue sur l'Ubaye, le petit Parp...! Encore que de pentes vierges à skier tout là bas ! Pas un pet de vent, il ferait même chaud😁.
Après s'être sustentés, nous entamons une descente et quelle descente !


Notre pote (le siesteur😉), nous rejoint 200 m sous le grand Parp et nous accompagne dans ces pentes de ouf ! Avec une neige de ouf ! dans un site de ouf !
Le pied, quoi !

On a tous la banane, sous nos skis, une neige ***** nous accompagne : un véritable "hold-up"!


Plus bas, la poudre sera moins épaisse mais avec le fond dur et le bon choix de pente...😆.
Mais, pour nous, les gourmands de poudre blanche, toute bonne chose a une fin😭. Nous récupérons la piste rejoignant la cabane du Gouron et descendons "tranquillou🙄🤔!" jusqu'à la Chalp où les copains du CAF Embrun, revenant d'autres parcours tout aussi sympas, nous attendent afin de partager de bonnes choses amenées par les uns et les autres chez nos hôtes : Rolland et Hélène😉.
Nous avons encore vécu une belle journée avec des conditions idéales pour le partage, le ski, la montagne.
Merci à vous 4 de m'avoir accompagné : pour faire une belle sortie, il faut aussi un bon groupe.
Bon, il semblerait que la neige revienne....🤞.
Vivement la prochaine bambée.

 
Max


 

 

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