22 Participants : Guillaume et Michèle, Dieter, Catherine, Yohan, Philippe et Florence, Michel, Christine et Bernard, Hélène et Ange, Alain et Isabelle, Sabine, Patrick, Bernard Tré, Anita et Alain2, Alain1 et Patricia.
Très belle météo prévue alors que nous sommes heureux de voir Sabine qui recommence à randonner avec nous après tous ses gros soucis.
Guillaume a prévu pour nous une jolie boucle au départ de la Grande Cabane.
Il fait bien frais quand la rando commence mais la montée sur la piste permettant les bavardages nous réchauffe bien vite.
La pente est très rude au départ puis elle s'adoucit et finalement nous arrivons au col de la Rousse.
Les premiers ont le temps de voir un chamois sur les pentes du Gros Ferrand.
Nous suivons des sentes sur la crête puis sur les pentes où le cheminement sur les pierres est tout sauf confortable. Une expérience ancienne nous a appris que le passage sur les crêtes n'était pas une bonne idée...
Il faut remonter dans un couloir très pentu où chacun trouve son chemin en coupant les multiples drayes.
Le parcours sur les crêtes commence alors et nous arrivons ainsi au sommet du Gros Ferrand, chacun à son rythme. Très beau panorama à contempler !
Les participants ayant exprimé le désir d'y déjeuner, Guillaume change ses plans et nous nous y installons...pendant que Dieter installe son pack de 3L de Rosé Pamplemousse bien frais sur des bâtons, facilitant ainsi l'accès au robinet afin que chacun puisse y remplir son gobelet facilement.
Catherine choisit la main non bandée pour sortir de son sac une bonne bouteille de vin blanc bien fraîche, et Ange nous régale encore avec une bouteille de bon vin vieux dont il a le secret. Mais avant, pour commencer, on voit circuler saucisson, biscuits apéritifs, noix de cajou et cacahuètes qui accompagnent le pastis apporté par Ange. L'ambiance conviviale du CAF Embrun est loin d'être en déclin !
Après avoir encore partagé des bonnes choses au dessert, nous reprenons notre traversée sur les crêtes car le soleil qui tape fort rendrait la sieste inconfortable. Et nous sommes restés au sommet près d'une heure !
Nous passons au sommet du Petit Ferrand puis sur les Couguyes avant d'arriver à la Tête de la Gypière (2443 m) et enfin au col des Olettes.
Il n'est même pas encore 14h ! Nous avons largement le temps de suivre la proposition que Guillaume nous fait pour monter au sommet du Joug de l'Aigle. Certains préfèrent attendre au col pendant que la plupart crapahutent sur de mauvaises sentes inconfortables mais qui conduisent au départ d'un passage où l'usage des mains est fortement recommandé et utile pour arriver au sommet.
Pour un grand nombre de participants c'est une première.
Petite pause agréable au sommet avant de descendre par le même chemin...ou par un autre.
Descente délicate : il faut éviter les chutes de pierre !
Le groupe se retrouve au complet et nous commençons la descente dans le vallon des Olettes.
Il faut remonter un petit peu, puis c'est une longue traversée dans un terrain bouleversé par des coulées de pierres.
Nous passons non loin de la cabane de la Pérouyère quand un cri retentit : Philippe s'est tordu violemment la cheville en cherchant à s'isoler. Nous avons mal en le voyant se tordre de douleur... Mais la bête est bien solide ! Après un passage de la zone endolorie dans l'eau fraîche d'un bachas, il reprend cahin-caha sa marche jusqu'aux voitures où la pluie attendait que nous arrivions pour se mettre à tomber.
Une si belle rando ne pouvant pas se terminer si vite, nous nous retrouvons chez Dieter pour y déguster sa bière pression que nous apprécions tant.
Il nous restait encore plein de choses à nous dire...
Merci pour cette très belle journée !
Patricia
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire