13 participants: Philippe, Florence, Nathalie, Michel, Bernard, Marie-Hélène, Auréliano, Jenny, Yann, Karyne, Joëlle, Alain, Patricia.
Enfin la météo nous permet de sortir !
Départ matinal à 7h car une grosse chaleur est annoncée avec un temps splendide : nous ne verrons pas un seul nuage durant toute la rando.
Nous garons les voitures sur le parking de Névache et chaussons sur la piste encore recouverte d'une épaisse couche de neige. Début de rando très agréable: les échanges sont commodes sur la route...
Le regel nocturne a bien durci la neige. Nous quittons la route peu après les chalets de Lacou et traversons la Clarée au pont du Rately direction les chalets de Buffère. Nous ne sommes pas les premiers à passer sur le sentier d'été que nous suivons !
Les toits sont bien recouverts de neige. Le vallon est magnifique, parsemé d'arbres, avec un doux relief et peu de traces en dehors de celle que nous suivons car la dernière chute de neige a tout nivelé. Ambiance plus qu'agréable !
Nous arrivons, chacun à notre rythme, sur la crête où nous nous installons pour le pique-nique. Inutile de se couvrir, le vent qui soufflait au départ à Embrun a disparu.
Après les échanges habituels de bonnes choses il faut bien se décider à descendre même si on se trouve très bien avec une vue superbe à 360° qui couvre les Ecrins, le Grand Aréa et toutes les montagnes alentour.
Des randonneurs encore plus matinaux que nous ont hélas fait leurs traces sur la belle pente exposée plein Nord, mais il reste assez de place pour que nous puissions faire les nôtres. La poudreuse n’est pas mal du tout. Quel plaisir !
Pour les regroupements, il ne faut pas se tromper avec un sympathique groupe de gendarmes qui évolue sur "nos" pentes.
Bernard, que nous n'avons pas beaucoup vu cet hiver, entame une bien longue série de chutes dont il parvient à se relever tout seul à chaque fois avec une remarquable énergie !!!
Arrivés aux chalets, la poudreuse laisse la place à une neige un peu molle mais pas difficile à skier.
Il ne reste plus qu'à reprendre le sentier d'été... en chasse-neige, vu l'étroitesse. Les cuisses de Bernard au bord de la crampe rechignent à donner de la carre pour freiner, lui occasionnant encore de multiples chutes afin d'éviter les arbres.
Ce n'est qu'arrivé à Névache qu'il réalisera que ses chaussures étaient restées en position montée !!! Tout s'explique mais on regrette de ne pas y avoir pensé avant ...
Il n'est que 14h30, suffisamment tôt pour prendre le temps d'aller partager encore un bon moment au café... Journée très réussie et agréable.
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