Participants : Chantal D , Hélène, Dominique V, Dominique L, Dominique G, Daniel.
Comme nous n'étions pas présents à cette belle boucle qu'avait proposée Patrick le 25 août, nous profitons de cette belle journée pour aller l'explorer.
Nous ne le regretterons pas : les conditions sont au top ; ni trop chaud, ni trop froid, pas de vent pour le pique-nique au sommet et la boucle est superbe.
Merci Patrick !
Daniel
Nous sommes nombreux à avoir envie de sortir après quelques jours de mauvais temps. Il fait beau mais frais, 2°C au départ ! Nous montons rapidement au Col de la Trancoulette, où nous nous engageons directement sur la Crête.
Vues magnifiques
dans toutes les directions, il n’y a pas un nuage. Les précipitations des
derniers jours ont saupoudré les hautes montagnes, ce qui donne plus de relief
et de couleurs.
Il y a quelques passages rocheux à passer ce qui prend un peu de temps avec un grand groupe comme ça, mais nous ne sommes pas pressés.
La
crête des Couniets est longue, avec des passages sur sentier et d’autres un peu
plus délicats, des petites descentes et des montées… faciles pour certains, dures
pour d’autres.
Mais le panorama est grandiose et nous observons énormément d’edelweiss, incités à une deuxième floraison par la pluie.
Au-dessus du Col de Serenne, nous observons le lac des Neufs Couleurs en bas et la
Mortice plus loin, nous décidons de continuer jusqu’au lac de l’Étoile pour le
pique-nique, où nous arrivons vers 13h. Mais ça en vaut la peine : le lac est d’un
bleu magnifique, il n’y a pas de vent et nous nous régalons avec apéro, dessert
et génépi partagés.
Tout le monde a repris des forces pour la descente, qui commence par une petite remontée quand-même, pour arriver à la crête de la Selle. De là nous traversons des champs pour nous engager dans le magnifique vallon de Chagnon, terrain inconnu pour la plupart d'entre nous. Olivier en profite pour nous expliquer les travaux de protection faits par l’ONF sur le Chagnon afin de limiter l’érosion.
Il est 16h30 quand nous arrivons aux voitures. Nous prenons la direction d'Embrun où nous sommes invités chez Isabelle et Didier pour une bière sur leur terrasse ; nous profitons des derniers rayons de soleil pour terminer cette belle journée. Merci !
Anita
Participants : Jean-Marc, Claudine, Pierre, Michel, Francis O, Didier, Annie, Régine, Cathy P, Alain, Anita.
Le
ciel est bien plus couvert qu’annoncé, mais le soleil persiste et nous quittons
vite les vestes qu’on avait mises au parking. Le sentier de départ n’est pas
sur la carte, ni balisé, il y a des cairns de temps en temps mais il faut bien
faire attention. Nous montons la trace raide et caillouteuse qui nous mène
parmi des barres rocheuses et des blocs. Un beau paysage bien sauvage !
Arrivés sur un replat, nous devons descendre le long d’une paroi rocheuse pour remonter de l’autre côté, jusqu’à une belle bergerie. De là, la trace est vague et nous zigzaguons dans des pentes herbeuses où nous admirons encore pas mal d’edelweiss, jusqu’au Col du Pont. Nous apercevons les premiers bouquetins au loin, ils sont 6. Le soleil se cache de plus en plus et un petit vent frais se lève. Deux lacs se trouvent en bas du col dans un terrain très minéral, sauvage et un peu austère avec ce temps. Nous descendons un sentier parmi les blocs et les tours rocheuses pour arriver au lac, et pour remonter après au deuxième lac avant de rejoindre le GR qui monte au col des Houerts. Il est 12h20, les nuages deviennent plus denses et il fait froid… Personne n’est vraiment chaud pour aller jusqu’au Pic des Houerts…
Nous cherchons un endroit pour le pique-nique, relativement à l’abri du vent glacial qui s’est levé. Apéro, café et génépi comme d’habitude, mais nous ne restons pas longtemps, il commence à faire très froid ! Nous espérons descendre avant la pluie qu’on aperçoit déjà au loin. Nous apercevons également un deuxième groupe de bouquetins, ils sont au moins une trentaine ! Quelle joie !
La descente se fait le plus rapidement possible, malgré les douleurs de genoux et les arrêts pour les photos, car le vallon des Houerts est très beau et une découverte pour la plupart entre nous. C’est vrai, par beau temps il a l’air plus paisible, mais il reste toujours magnifique. Il y a quelques gouttes, mais pas assez pour mettre les imperméables et quand nous arrivons à la route, il fait plutôt chaud.
Il ne nous reste qu’un kilomètre de route pour arriver aux voitures vers 16h, après 1300 m de dénivelé.
Pierre et Michel nous invitent gentiment pour une bière chez eux et nous passons encore un beau moment ensemble. Merci pour cette invitation !
Anita
Participants : Annie, Bernard, Christine, Didier, Frédérique, Kevin, Luc, Sabine, Sylvie, Yann.
C’est à 10 que nous partons de Brunissard pour la Via ferrata de Pra Premier, facile, esthétique, et relativement courte, que la Cheffe propose aux débutants et aux plus aguerris que comporte le groupe. Pour plus de confort et de sécurité, nous formons deux groupes (le second mené par Sylvie), car l’attaque de la Via comporte deux itinéraires qui se rejoignent ; et en effet, nous ne nous gênerons pas.
La progression est régulière et agréable, et nous nous retrouvons tous à midi au sommet, avec le sourire, pour pique-niquer un peu plus loin dans le vallon de Clapeyto.
La météo est agréable, avec un soleil chaud mais intermittent, et nous en profitons, comme l’avait annoncé la Cheffe, pour poursuivre jusqu’au col de la Rousse, puis au-dessus, jusqu’à 2650m environ sur les mauvais rochers de la crête de Balart… Nous n’irons pas plus haut, le terrain n’est vraiment pas engageant, même si le spectre de la RDM plane dans le groupe : à peine 700m de dénivelée cumulée !
Malgré tout, le paysage et les couleurs sont superbes, les chalets de Clapeyto toujours plus soigneusement rénovés et entretenus, tandis que nous bouclons, en partie hors sentier, par ce beau vallon si souvent parcouru à skis. RDM ou pas, nous sommes ravis de cette journée mi-ferrata, mi-rando. Avis aux amateurs !
Sabine
